20/08/2009

TO BE OR NOT TO BE DIRCOM ?

Etre ou ne pas être DIRCOM...essentiellement ? Ce que je veux dire, notamment pour mes étudiants, c'est peut-on (doit-on) être à la fois DIRCOM et DRH ? ou DIRCOM et Directeur du Développement durable ? ou comme je l'ai vu encore récemment DIRCOM et Directeur général ou DIRCOM et DIRCAB. Je m'étais déjà demandé si le DIRCOM devait être sympathique, vous vous en souvenez peut-être, mais là, la question me taraude vraiment car c'est du coeur du métier dont il s'agit. On voit que, parfois, l'unicité d'un job peut être mise en cause. Je me demande si c'est pour se rassurer que l'on chosit de s'entourer d'un DIRCOM light, un DIRCOM à 50% ? Je ne me vois pas vraiment au cours d'un comité de direction, à la fois traiter d'une campagne de pub et du recrutement du personnel d'une filiale au Brésil ou dans la Mayenne, ni même de la législation européenne sur le traitement des déchets ou de toute autre problématique ô combien essentielle à l'entreprise, mais ne relevant pas directement de mon savoir-faire. Le plus grave est que cette pratique engendre des situations ubuesques (voir le sondage plus bas...) et qu'elle ne garantit en rien la place de la communication dans l'entreprise, sa force et son positionnement propre auprès du décideur final. Le métier a été inventé en France dans les années 80, au siècle dernier...mais c'est tous les jours qu'il faut le remettre sur ses fondamentaux : création d'image, maîtrise du risque médiatique, prise en compte de l'irrationnel de la relation, courage. POUR RENFORCER VOTRE MARQUE.